Après une enfance en Algérie, des études de lettres puis d’anthropologie, Marie-France Houdart vient vivre en Limousin où la place des femmes lui a semblé primordiale dans la société paysanne. On connait son ouvrage "C'est par les femmes.…"

Aujourd’hui, croisant époques, continents et disciplines, et guidée par les leçons de Germaine Tillion, elle élargit ses réflexions au monde qui nous entoure et essaye de comprendre comment, dans les sociétés agraires et belliqueuses qui nous ont forgés, les femmes sont devenues un enjeu économique et politique capital dans la domination du monde. Des divinités primordiales de la préhistoire aux dieux mâles des monothéismes, c’est ainsi un tout nouveau regard que porte Marie-F. Houdart dans son dernier ouvrage, "La jument décillée", sur l’histoire du rôle joué, jusqu'à nos jours, par trois religions rivales dans l'occultation, l’instrumentalisation et l'oppression des femmes, qui privent le monde d’une part essentielle du génie humain.

Une vision personnelle qui donne à réfléchir.

Après une enfance en Algérie, des études de lettres puis d’anthropologie, Marie-France Houdart vient vivre en Limousin où la place des femmes lui a semblé primordiale dans la société paysanne. On connait son ouvrage "C'est par les femmes.…"

Aujourd’hui, croisant époques, continents et disciplines, et guidée par les leçons de Germaine Tillion, elle élargit ses réflexions au monde qui nous entoure et essaye de comprendre comment, dans les sociétés agraires et belliqueuses qui nous ont forgés, les femmes sont devenues un enjeu économique et politique capital dans la domination du monde. Des divinités primordiales de la préhistoire aux dieux mâles des monothéismes, c’est ainsi un tout nouveau regard que porte Marie-F. Houdart dans son dernier ouvrage, "La jument décillée", sur l’histoire du rôle joué, jusqu'à nos jours, par trois religions rivales dans l'occultation, l’instrumentalisation et l'oppression des femmes, qui privent le monde d’une part essentielle du génie humain.

Une vision personnelle qui donne à réfléchir.

Après une enfance en Algérie, des études de lettres puis d’anthropologie, Marie-France Houdart vient vivre en Limousin où la place des femmes lui a semblé primordiale dans la société paysanne. On connait son ouvrage "C'est par les femmes.…"

Aujourd’hui, croisant époques, continents et disciplines, et guidée par les leçons de Germaine Tillion, elle élargit ses réflexions au monde qui nous entoure et essaye de comprendre comment, dans les sociétés agraires et belliqueuses qui nous ont forgés, les femmes sont devenues un enjeu économique et politique capital dans la domination du monde. Des divinités primordiales de la préhistoire aux dieux mâles des monothéismes, c’est ainsi un tout nouveau regard que porte Marie-F. Houdart dans son dernier ouvrage, "La jument décillée", sur l’histoire du rôle joué, jusqu'à nos jours, par trois religions rivales dans l'occultation, l’instrumentalisation et l'oppression des femmes, qui privent le monde d’une part essentielle du génie humain.

Une vision personnelle qui donne à réfléchir.

Conférence Bfm/ARAL 9 décembre 2021

Personnage iconoclaste, Olympe de Gouges a fait l’objet de préjugés pendant près de deux siècles. Cette figure humaniste de la Révolution française est souvent mal connue, a été mal jugée et sa pensée juridique a été laissée de côté voire même ignorée. Elle a en réalité pensé tout un projet de société pour la France des années 1789 en tant qu’auteur patriote. Ce projet prenait la forme d’un combat quotidien qui débouchait sur une action concrète. La volonté de défendre et de promouvoir la personne humaine demeure au coeur de sa pensée avant-gardiste. Autodidacte, elle a fait preuve d’un grand courage sans faille pour défendre son humanisme. Ses écrits, tout en témoignant de leur temps, laissent un message universel pour tous les combats des libertés fondamentales de l’homme. Ces libertés qu’elle défendait hier, sont universellement reconnues aujourd’hui. Et pourtant, elles font écho à l’actualité et au sort réservé notamment aux femmes dans certains endroits du monde.

Olympe de Gouges, le cri d’une humaniste dans la tourmente révolutionnaire

                                          Vous pouvez retrouver cette conférence sur you.tube bfm Limoges :   https://www.youtube.com/watch?v=TCaUYHvNiHI&t=235s

 

 

Auteur : Anne-Louise Peylet

Le 26 novembre 2021 : à la BFM, à 18h, amphi Clancier, Conférence ARAL en partenariat avec la Bfm, de Bernard Cubertafond.

Le Limousin, une identité discriminée ?

 

Une identité limousine? Assurément et la question est déjà parfaitement documentée. Une identité discriminée ? Oui, tout autant et le délabrement ferroviaire et la suppression de la région le prouvent encore plus. Dès lors, que faire? Pleurnicher, se terrer, poser des bombes, exiger reconnaissance et repentance selon la règle d'aujourd'hui ? Ou élargir le champ de vision et sortir de l'identité régressive. Car d'autres régions subissent le même sort. Le centralisme, l'arrogance de la haute administration et la servitude volontaire sont des maux français très anciens. Après la jacquerie des gilets jaunes et le nouvel échec de la transformation imposée d'en haut, a-t-on, enfin, desserrer  l'emprise étatique et accueillir d'autres idées, d'autres élites ?

Conférence de Philippe GRANDCOING : Du vol de la châsse d'Ambazac à la substitution du reliquaire de Saint-Yrieix, les trafics autour des émaux limousins à la Belle Epoque

Durant les premières années du XXe siècle, dans le contexte de la séparation des Eglises et de l'Etat et alors que l'intérêt pour les émaux médiévaux ne cesse de croître, une série de vols et de substitutions a lieu dans des sanctuaires limousins et auvergnats. Médiatisée alors sous le nom de "l'affaire de la bande à Thomas" elle témoigne à la fois des nouveaux enjeux politiques, artistiques et économiques autour du patrimoine ainsi que la réalité d'un trafic criminel international. En reprenant le dossier judiciaire et médiatique de l'affaire, le public est invité à démêler l'écheveau de cette histoire aux multiples ramifications. 

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